private folder
PEGI
statistical data
Âge : ~100 ans
Messages : 189
Date d'inscription : 31/12/2023
Niveau : ∞
XP : 0
# System Log Last Entry :
[section option="PROTOCOLES MAJEURS"]
Dans le monde de Cloud City 2177, l'internet tel qu'on le connait n'existe plus. Le réseau n’est plus mondialisé depuis 2022 : chaque continent, voire pays, voire ville, a son propre réseau web. Dans la NESU, l'entité principale est le NEIS : New European Internet Service. Le net est alors un univers complexe de réseaux ou sous-réseaux interconnectés, et de protocoles pour les réglementer. De tous ceux-ci, les protocoles de défense les plus connus dans le monde sont le black wall, aujourd'hui détruit, et le white wall.
[tabbar] [tab option="black-content"]LE BLACK WALL[/tab] [tab option="white-content"]LE WHITE WALL[/tab] [/tabbar][tabcontent option="black-content"]Créé en 2040 en majeure partie par la Netwatch (ex-cyberpolice de Nightcity), le [highlight]projet black wall[/highlight] avait deux fonctions :
[arrow] Contrôler le net et le cyberespace, sinistré et partiellement inexploitable depuis de datakrash causé par Bartmoss en 2022.
[arrow] Sécuriser le réseau utilisé par les humains en maintenant à distance les menaces que représentent les IA sauvages.
Pendant des années, le black wall remplissait pleinement sa fonction de pare-feu et de gendarme du cyberespace. Ce protocole unique était programmé pour être impitoyable. Dès qu’un sous-réseau ou qu’un système informatique était jugé dangereux, il était broyé par le black wall. Les données résiduelles engendrées par ces sentences brutales étaient appelées "phantom datas" ; on les accusait parfois de hanter le net et de causer des anomalies mineures dans des logiciels fragiles. Par ailleurs, le black wall pouvait couper la route ou piéger les entités qui cherchaient à entrer… ou à sortir.
Car en effet, ce protocole n'avait pas toujours bonne presse. De nombreux netrunners étaient persuadés que le cyberespace était bridé, soumis à la dictature du black wall. Ils songeaient alors que les IA sauvages bannies ne causeraient pas l’apocalypse mais, au contraire, les aideraient à libérer le potentiel infini du cybernet. Certains essayaient donc de passer à travers cette barrière inébranlable. D'autres individus, très rares, étaient même capables de se connecter au black wall et de l’utiliser pour décupler l'ampleur de leurs compétences de piratage. Néanmoins, tous ces actes avaient des conséquences :
[arrow] sur le corps d’abord ; ceux et celles qui n’ont pas eu la cervelle grillée par l’expérience ont perdu la raison et leur propre conscience a été rongée par les IA. Les conséquences neurologiques, psychologiques et somatiques étaient irréversibles.
[arrow] sur le black wall lui-même. Chaque interaction trop invasive de l’humain a abîmé le pare-feu et créé des “brèches”, des anomalies qui ont pu être exploitées…[/tabcontent][tabcontent option="white-content"]Juste après le Rift de 2077, alors que le réseau européen menace de se faire infester à son tour par l’Hydre, de nombreux netrunners mandatés par la NESU donnent leur vie pour repousser l’envahisseur. En parallèle, en secret, un petit groupe de talents triés sur le volet œuvre à un projet capital : coder et déployer une protection similaire au black wall, capable de retenir l’Hydre. Parmi eux, [highlight]Malicia “CL0VD” Murrow[/highlight], jeune prodige de 21 ans, débauchée pour cette mission par la présidence de la NESU en personne.
On peut visualiser le [highlight]white wall[/highlight] comme une clôture autour du pré que serait le NEIS. Ce protocole agit comme un pare-feu extrêmement sophistiqué qui empêche les IA sauvages de pénétrer le réseau européen. Dans certains cas, il peut même piéger une entité particulièrement audacieuse, qui sera alors remise aux bons soins de la SWaN. Le white wall est hermétique dans les deux sens car s’il empêche les intrusions, il repousse également tous les netrunners qui ambitionnent de s’aventurer au-delà des frontières du NEIS. Après l’avoir mis en service, l’État Européen a contacté toutes les autres nations du monde pour leur vendre à prix d’or ce protocole de cyber pare-feu. Toutes l’ont acheté, évidemment, car c’était l’unique solution disponible pour éviter d’être la proie de l’Hydre. Seules l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont refusé avant de couper le contact.[/tabcontent]
[sousSection option="Pour en savoir plus"][linklist][linkitem option="https://www.cloudcity2177.com/t26-la-ville-de-cloud-city"]Description de Cloud City[/linkitem]
[linkitem option="https://www.cloudcity2177.com/t48-la-nesu#103"]La NESU[/linkitem]
[linkitem option="https://www.cloudcity2177.com/t19-les-intelligences-artificielles-en-2177"]Les IA en 2177[/linkitem][/linklist][/sousSection][/section]
Dans le monde de Cloud City 2177, l'internet tel qu'on le connait n'existe plus. Le réseau n’est plus mondialisé depuis 2022 : chaque continent, voire pays, voire ville, a son propre réseau web. Dans la NESU, l'entité principale est le NEIS : New European Internet Service. Le net est alors un univers complexe de réseaux ou sous-réseaux interconnectés, et de protocoles pour les réglementer. De tous ceux-ci, les protocoles de défense les plus connus dans le monde sont le black wall, aujourd'hui détruit, et le white wall.
[tabbar] [tab option="black-content"]LE BLACK WALL[/tab] [tab option="white-content"]LE WHITE WALL[/tab] [/tabbar][tabcontent option="black-content"]Créé en 2040 en majeure partie par la Netwatch (ex-cyberpolice de Nightcity), le [highlight]projet black wall[/highlight] avait deux fonctions :
[arrow] Contrôler le net et le cyberespace, sinistré et partiellement inexploitable depuis de datakrash causé par Bartmoss en 2022.
[arrow] Sécuriser le réseau utilisé par les humains en maintenant à distance les menaces que représentent les IA sauvages.
Pendant des années, le black wall remplissait pleinement sa fonction de pare-feu et de gendarme du cyberespace. Ce protocole unique était programmé pour être impitoyable. Dès qu’un sous-réseau ou qu’un système informatique était jugé dangereux, il était broyé par le black wall. Les données résiduelles engendrées par ces sentences brutales étaient appelées "phantom datas" ; on les accusait parfois de hanter le net et de causer des anomalies mineures dans des logiciels fragiles. Par ailleurs, le black wall pouvait couper la route ou piéger les entités qui cherchaient à entrer… ou à sortir.
Car en effet, ce protocole n'avait pas toujours bonne presse. De nombreux netrunners étaient persuadés que le cyberespace était bridé, soumis à la dictature du black wall. Ils songeaient alors que les IA sauvages bannies ne causeraient pas l’apocalypse mais, au contraire, les aideraient à libérer le potentiel infini du cybernet. Certains essayaient donc de passer à travers cette barrière inébranlable. D'autres individus, très rares, étaient même capables de se connecter au black wall et de l’utiliser pour décupler l'ampleur de leurs compétences de piratage. Néanmoins, tous ces actes avaient des conséquences :
[arrow] sur le corps d’abord ; ceux et celles qui n’ont pas eu la cervelle grillée par l’expérience ont perdu la raison et leur propre conscience a été rongée par les IA. Les conséquences neurologiques, psychologiques et somatiques étaient irréversibles.
[arrow] sur le black wall lui-même. Chaque interaction trop invasive de l’humain a abîmé le pare-feu et créé des “brèches”, des anomalies qui ont pu être exploitées…[/tabcontent][tabcontent option="white-content"]Juste après le Rift de 2077, alors que le réseau européen menace de se faire infester à son tour par l’Hydre, de nombreux netrunners mandatés par la NESU donnent leur vie pour repousser l’envahisseur. En parallèle, en secret, un petit groupe de talents triés sur le volet œuvre à un projet capital : coder et déployer une protection similaire au black wall, capable de retenir l’Hydre. Parmi eux, [highlight]Malicia “CL0VD” Murrow[/highlight], jeune prodige de 21 ans, débauchée pour cette mission par la présidence de la NESU en personne.
On peut visualiser le [highlight]white wall[/highlight] comme une clôture autour du pré que serait le NEIS. Ce protocole agit comme un pare-feu extrêmement sophistiqué qui empêche les IA sauvages de pénétrer le réseau européen. Dans certains cas, il peut même piéger une entité particulièrement audacieuse, qui sera alors remise aux bons soins de la SWaN. Le white wall est hermétique dans les deux sens car s’il empêche les intrusions, il repousse également tous les netrunners qui ambitionnent de s’aventurer au-delà des frontières du NEIS. Après l’avoir mis en service, l’État Européen a contacté toutes les autres nations du monde pour leur vendre à prix d’or ce protocole de cyber pare-feu. Toutes l’ont acheté, évidemment, car c’était l’unique solution disponible pour éviter d’être la proie de l’Hydre. Seules l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont refusé avant de couper le contact.[/tabcontent]
[sousSection option="Pour en savoir plus"][linklist][linkitem option="https://www.cloudcity2177.com/t26-la-ville-de-cloud-city"]Description de Cloud City[/linkitem]
[linkitem option="https://www.cloudcity2177.com/t48-la-nesu#103"]La NESU[/linkitem]
[linkitem option="https://www.cloudcity2177.com/t19-les-intelligences-artificielles-en-2177"]Les IA en 2177[/linkitem][/linklist][/sousSection][/section]